Les Blagues de Jérôme and C°

A l'occasion d'un match de rugby, un groupe de jeunes vient prendre place juste à côté d'une jeune femme, visiblement très intéressée par la partie.
Elle connaît le nom de tous les joueurs sur le terrain et fait même quelques commentaires à voix haute sur les schémas tactiques
mis en place par les coachs des deux équipes. A la fin de la rencontre, l'un des jeunes demande:
"C'est impressionnant comme vous connaissez bien le rugby..."
Elle répond: "Oui, c'est parce que j'étais un garçon avant mon opération..."
D'abord surpris, les jeunes sont piqués de curiosité et l'un d'entre eux ose demander:
"Et c'est pénible une opération comme ça ? Qu'est ce qui fait le plus mal... Quand on vous l'a coupé ?"
Sans s'offusquer, elle explique: "Oui, ça fait affreusement mal mais ça n'est pas ça le plus douloureux."
Un autre jeune intervient: "Alors c'est lorsqu'on a coupé vos testicules, c'est ça ?"
Elle répond: "Ca aussi, ça fait mal mais ce ne fut pas non plus le plus pénible..."
Un troisième jeune demande alors:
"Alors qu'est ce qui fut le plus douloureux ?"
La jeune femme réplique:
"Si vous voulez vraiment le savoir, le plus plus atroce, c'est lorsqu'ils ont coupé mon salaire de la moitié..."



Victime d'un grave accident domestique, un homme avait été amputé des deux oreilles...
Dans son malheur, il avait néanmoins touché une somme d'argent importante de la part de son assurance et en avait profité pour créer sa société.
Il était devenu très susceptible et refusait catégoriquement que ses employés évoquent son curieux handicap dans les murs de l'entreprise.
Un jour, alors qu'il souhaitait engager un nouveau contremaître, il décida de diriger lui même les entretiens d'embauche.
La première interview se déroula parfaitement bien.
Le candidat s'était avéré brillant et le patron, convaincu des qualités du postulant, posa à ce dernier une ultime question:
"Ca fait une demi heure que nous sommes ensemble. Ne remarquez vous rien d'inhabituel chez moi ?"
Le jeune homme répondit: "A présent que vous me le dites, j'ai l'impression que vous n'avez pas d'oreilles..."
Le patron renvoya l'honnête candidat sur le champ.

Le second entretien suivit le même chemin. Un candidat exceptionnellement doué auquel le patron, confiant, posa son ultime question:
"Ne remarquez vous rien d'inhabituel chez moi ?"
Ne sachant que dire, le deuxième postulant répondit: "Il me semble que vous êtes privé d'oreilles..."
Le patron, énervé, renvoya celui-la aussi.

Le troisième candidat se présenta alors; il était encore meilleur que les deux précédents; l'homme de la situation.
Et le patron lui posa donc, en guise d'épilogue, la question rituelle: "Ne remarquez vous rien d'inhabituel chez moi ?"
"Si... Vous portez des verres de contact !", répondit spontanément le troisième postulant.
Le patron ravi remarqua alors: "Quel sens de l'observation exceptionnel. Mes verres de contact sont pourtant discrets..."
Et le candidat souriant: "Oui mais sans oreille, comment pourriez-vous porter des lunettes ?"



Le professeur de droit s'apprêtait à distribuer les sujets pour l'examen de fin d'année. Juste avant de remettre les précieux documents, il précisa aux étudiants:
"Cet examen doit durer 2 heures exactement, je n'accepterai pas une minute de retard."
Trois quart d'heure après le début de l'épreuve, un étudiant arrive en courant et se précipite au bureau du professeur.
Celui-ci lui remet un sujet et, ricanant, lui dit:
"Vous êtes en retard, il ne vous reste que 73 minutes pour terminer cette épreuve."
L'étudiant acquiesce mais, alors que tout le monde a rendu sa copie depuis une dizaine de minutes, il entame seulement la conclusion de son devoir.
Il remet finalement sa copie avec 20 minutes de retard. Le professeur, comme il l'avait prévenu, dit:
"Désolé, mais je n'accepterai pas votre copie".
- "Mais vous savez qui je suis ?" s'exclame alors l'étudiant.
- "Non, mais je m'en fiche vraiment", répond le professeur.
"Vous étiez en retard, je n'accepterai pas votre copie."
- "Mais vous savez qui je suis ?" répète l'étudiant.
- "Non, et je ne veux pas le savoir !"
L'étudiant, d'un geste rapide, glisse alors sa copie au beau milieu de la pile des devoirs rendus par les autres étudiants et dit:
- "Alors comme ça, vous ignorez qui je suis ?"



Un prêtre et une religieuse, de retour d'un séminaire, tombent en panne d'essence a proximité d'un motel.
Comme, ils sont dans l'impossibilité de faire réparer le véhicule avant la nuit, ils décident de passer la nuit dans le motel.
Malheureusement, il n'y a qu'une chambre de libre...
Le prêtre dit à la sœur:
"Je ne pense pas que le Seigneur nous en voudra, vu les circonstances, de partager cette chambre pour une nuit. Je dormirai sur le canapé et vous, dans le lit."
Ils se préparent à se coucher, prennent leurs places respectives sur le canapé et dans le lit et bientôt la religieuse dit:
"Qu'est ce qu'il fait froid ici...".
Et le prêtre de répondre: "Ne bougez pas, je vais aller vous chercher une couverture."
Dix minutes plus tard, la sœur répète:
"J'ai toujours terriblement froid, mon père..."
Et le prêtre réplique poliment:
"Ne bougez pas ma sœur... Je vais vous chercher une autre couverture. "
Mais dix minutes plus tard, ça ne va toujours pas. La religieuse dit au prêtre:
"J'ai toujours froid, mon père.
Et vu les circonstances, je ne pense pas que le Seigneur nous en voudrait si, pour cette nuit seulement, nous agissions comme un homme et une femme..."
Et le prêtre de répondre:
"D'accord... Lève-toi et va chercher ta foutue couverture toute seule !"



Un ministre africain vient en voyage officiel en France, et se fait inviter a dîner chez son homologue français.
En voyant la somptueuse maison de ce dernier, la piscine, les sculptures et toiles des plus grands, il lui demande comment il peut s'assurer un tel train de vie.

Le ministre français l'entraîne près de la fenêtre :
- "Vous voyez l'autoroute la-bas ?"
- "Oui ?"
- "Elle a coûte vingt milliards. L'entreprise l'a facturée 25 et m'a verse la différence."

Trois ans plus tard, le ministre français est en voyage officiel en Afrique et rend visite a son homologue.
Quand il arrive chez lui, il découvre un palais comme il n'en avait encore jamais vu.
Stupéfait, il demande :
"Mais, je ne comprend pas, il y a 2 ans vous trouviez que j'avais un train de vie royal, mais par rapport à vous..."
Le ministre africain l'entraîne près de la fenêtre :
"Vous voyez l'autoroute là-bas ?"
- "Non..."
- "Bien voila, tout simplement..."



Guy s'était senti coupable toute la journée.
Même en essayant d'oublier de toutes ses forces. Il n'y parvenait pas et ce sentiment l'envahissait toujours.
De temps en temps, il entendait cette petite voix au fond de lui qui essayait de le rassurer :
"Ne t'en fais pas Guy, tu n'es pas le premier toubib qui couche avec un de ses patients et tu ne seras pas le dernier !"
Mais invariablement, une autre voix le ramenait à la triste réalité :
"Guy, tu es vétérinaire..."



Un informaticien se ballade le long du chemin, et y rencontre une grenouille répugnante.
- "A l'aide !" hurle la grenouille.
L'informaticien se penche étonne et la prend doucement dans ses bras. La grenouille explique alors :
"En fait, je suis une merveilleuse princesse, et je viens d'être élue Miss Univers.
Mais par dépit, ma dauphine m'a jetée un sort et m'a transformée en sale grenouille.
Il suffit qu'un jeune homme m'embrasse et je redeviendrais comme avant... "
L'informaticien fourre la bestiole dans sa poche et continue son chemin.
La grenouille réalise alors qu'elle a du tomber sur un mou du cerveau. Elle doit alors expliquer son affaire plus en détails.
- "Si tu m'embrasses, je redeviendrais comme avant et je te serais très reconnaissante..." L'informaticien continue.
La grenouille inquiète: "Si tu m'embrasses, je redeviendrais la femme qui a été élue Miss Univers, et je serais a toi pour la vie."
Toujours rien. Ce n'est pas possible, il fait monter les enchères, pense la grenouille.
- "Embrasse-moi, et tu auras une femme superbe et sensuelle a tes pieds. Je serais ton esclave, je satisferais tous tes désirs." Rien.
La grenouille désespérée, demande d'une petite voix : "Ca ne t'intéresse pas d'avoir une belle jeune femme prête a assouvir tes fantasmes ? "
Enfin l'informaticien réponds :
"Tu sais, il n'y a vraiment pas de place dans ma vie pour une nana, mais une grenouille qui parle c'est rigolo."



Une blonde doit se rendre en ville mais n'a pas de moyen de locomotion.
Elle fait du stop et après quelques minutes, un type s'arrête et accepte de l'emmener jusqu'au centre-ville.
Il engage la conversation : "Je suis voyant. Je prédis l'avenir."
Elle : "Super, et comment vous faites ça ?"
Lui : "J'ai appris avec un grand maître druide."
Elle : "Et ça rapporte beaucoup ?"
Lui : "Environ 450 francs la demi heure."

Surprise, elle demande : "Vous accepteriez de m'apprendre le métier ?"
Lui : "Oui, mais il faudrait vous initier."

Elle accepte et le type arrête sa voiture sur un petit chemin au bord de la route.
"Il faut que je vous attache nue à cet arbre. Ca fait partie de l'initiation. Vous serez ainsi en communication avec la nature..."

Elle accepte et le type commence à baisser son pantalon.
Elle : "Ho la la, je devine ce que vous allez me faire."
Lui : "Vous voyez ,ça marche déjà !"



Une voyante pousse un cri devant la femme qui lui a demandé une consultation :
- Oh mon Dieu, votre mari se trouve en danger de mort !
- Ah bon, réplique la dame, mais dites moi si je serai acquittée ?



Un jeune homme monte dans un train pour Strasbourg. Dans le compartiment ou il s'installe, il n'y a qu'une personne.
Une très jeune et jolie religieuse en train de lire la Bible. Le jeune homme choisit de s'asseoir juste a cote de la religieuse, qui ne semble pas du tout s'intéresser a lui.
Au bout d'un temps qui lui semble interminable, le gars essaie d'entamer la conversation.
Mais, ne sachant ni par quoi ni par ou commencer, il place sa main sur le genou de la vestale de Dieu.
La nonne rougit et se tourne vers l'impudent :
- "Jeune homme, croyez-vous en Dieu ?"
Le gars répond: "Oui, bien sur"
- "Avez-vous déjà lu la Bible ?
Pour qualifier le geste que vous venez de faire, je vous conseille, lorsque vous rentrerez chez vous, de lire le verset 14 du Chapitre 6..."

Le gars rougit a son tour et retire sa main. Ensuite il ne bronche plus pendant tout le reste du voyage.
De retour chez lui, il va chercher une Bible qui traînait dans son grenier et après avoir ouvert le livre au chapitre 6 verset 14 il lit :
"Le Paradis est un peu plus haut."



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